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Féminin pluriel

Chapitre 5

Lesbienne
Féminin pluriel (4)
Nos premières fois (fin)

Et oui, je connais la suite de leur histoire, en grande partie du moins.
« Moi, c’est à la fois plus simple et plus court. J’ai eu, car je ne suis pas trop vilaine, des petites aventures dès la colonie de vacance, mais c’était plutôt de l’amitié amoureuse, très chaste. J’avais un petit copain, c’était bien. Je n’en avais pas, je n’en faisais pas une maladie. A tel point que vers mes 16 ans lorsque mon petit ami d’alors s’en est allé voir ailleurs (sans doute vers une fille plus, hmm, disons, ouverte ?) je n’ai pas compris le message d’un autre garçon également largué qui se serait bien consolé avec moi.
Ce n’est que bien plus tard que j’ai réalisé pas mal de garçons auraient aimé sortir avec moi. Moi j’étais totalement sur une autre planète.J’avais découvert la masturbation vers 11/12 ans et ça me suffisait. Ma mère s’en était aperçue et m’y avait encouragée, sans doute préférait elle ça à un voyage en Hollande…J’étais assez timide, sous mes airs délurée et mes petits amis étaient pas entreprenants, si bien qu’on avait le cœur qui battait, on s’embrassait… et ça s’arrêtait là.
Mon premier émoi sexuel est venu… des pieds d’une copine, Anne-Monique. On était en camp de vacance et ses pieds étaient parfaits. Je n’ai pas associé ça au fait que c’était une très jolie fille, non simplement j’étais en admiration devant elle. Mais elle était avec son petit copain.
J’ai commencé à jouer au volley-ball au lycée, puis j’ai continué en club dans une équipe prestigieuse, où j’étais souvent titulaire.Avec les filles il y avait des disparités, ça allait de 33/34 ans mariées à 18/19 ans. Je suis sortie avec un joueur de l’équipe masculine, qui a changé d’attitude lorsque je lui ai cédé. Il est devenu possessif, s’est révélé égoïste, j’aimais bien être avec lui, il était beau, musclé, mais au bout de quelques mois j’ai mis fin à cette aventure que je trouvais étouffante. D’autres ont bien essayé, mais j’avais gardé de cette histoire un goût amer, au propre et au figuré. Et puis il y a eu Denise.
Après les entraînements et les matches nous prenions toutes nos douches ensemble. Sans fausse pudeur, nues, bien sur, côte à côte. Et je n’ignorais rien de leur anatomie que trouvais esthétique, mais sans désir.Je m’entendais bien avec toutes, mais Denise avait mon âge et nous étions souvent ensemble à lancer de gentilles piques aux “anciennes “ lorsqu’elles évoquaient leurs expériences sportives. Lors des déplacements en province elle était souvent à côté de moi assise dans le car. Et plus d’une fois nous avons partagé la chambre.
Il ne s’est rien passé jusqu’au jour ou, pour je ne sais plus quelle raison, je lui ai parlé des pieds d’Anne-Monique et de l’effet qu’ils m’avaient produits. Denise est devenue aussi sérieuse que son accent du Gard le lui permet :— “Vé, tu en étais amoureuse sans le savoir… et moi, mes pieds, comment les trouves tu ?“— “ Pas mal.“C’était vrai, elle les avait laqués d’un joli rouge, qui allait bien à son teint de Rousse, bien polis. Mais la plupart du temps ils étaient dans des baskets, des tongs ou pire, ces horribles claquettes en bois (que j’ai toujours détestées) et ne provoquaient pas en moi la même attirance. Ca je le gardai pour moi.
Nous étions à Pau et après le décrassage nous avions quartier libre avant de dîner toutes ensembles. Après le repas, nous avons continué à faire les fofolles entre jeunes, les “anciennes“ étant allées se “reposer“ avec leurs maris qui étaient du déplacement, sous nos clins d’œil complices.Vers 23h à notre tour nous montâmes dans nos chambres.Denise me donna un coup de coude en riant :“Nous aussi il faut qu’on se repose en vue du match de demaing après-midi“Elle me laissa prendre ma douche en premier. Lorsqu’ elle m’entendit me sécher les cheveux, elle entra, en peignoir et prit sa douche.J’étais allongée quand elle en sortit et m’appela pour je ne sais quel prétexte. Elle était encore toute nue excepté ses cheveux dans une serviette. Je l’avais vue mille fois comme ça, et n’y attachai pas d’importance. Mais cette fois-ci, elle était différente. Je mis cela sur l’enjeu du match du lendemain, mais elle me détrompa vite :— “Putaing, ce que tu peux être cruche, parfois !“— “Mais qu’est-ce qui ne va pas ?“— “Toi, ma bichette. Tu n’as rien compris ! Tu ne vois rien !"Et elle m’attire vers elle de tout sa force et me roule une galoche. — “Penses tu que j’aie passé une après-midi chez l’esthéticienne par plaisir? Tu n’as pas remarqué que je suis toujours avec toi ? Tu sais, tu me plais depuis longtemps… “
Quoi dire, Denise c’était un peu mon double, on s’entendait bien, nous passions beaucoup de temps ensemble, mais de là à coucher avec elle ! J’ai bafouillé que je l’aimais bien, mais que je savais pas qu’elle m’aimait comme ça, que j’étais confuse et que l’on verrait ça après le match, blablabla, et bonne nuit, faut que je dorme.Je n’avais pas été trop sèche, mais elle était toute triste sur son lit. J’ajoutai que je ne lui en voulais pas et lui tendis la main pour une caresse sur la joue. Elle embrassa ma main, je me tournai et m’endormis aussitôt.
Je n’aime pas fermer les volets et quand le soleil me réveilla, je me trouvai bien à l’étroit dans mon lit une place. J’avais un bras autour de mon ventre, je sentais celui de Denise contre mon dos, son odeur de rouquine.Pas trop réveillée, je décidai d’accepter ce moment de tendresse imprévue. Quand je sentis qu’elle émergeait dans la clarté, je me retournai et tombais sur un grand sourire.— “J’ai eu froid toute seule. J’avais besoin de ta chaleur.“
On est en mai. Et il fait bon. Pfff. Je vais pour me lever mais son bras me retient et elle se love contre mes fesses. Elle m’enjambe et frotte son minou dessus. Avant que je dise quoi que ce soit son doigt sur ma bouche :“Chhhh. Laisse moi juste une fois. Une seule fois. Promis.“De son autre main elle ouvre son sexe et le colle sur mon globe. Elle va doucement, puis accélère, ralentis, repart. Sa chatte est ouverte et glisse bien, je la sens. Son odeur de rousse est plus prégnante. Bon, je veux bien lui prêter une fesse pour qu’elle se branle dessus, mais moi, je fais quoi ?
Maintenant elle donne de grands coups de ventre et bouge mon corps de telle sorte que ma main heurte mon minet qui se réveille lui aussi. Instinctivement, je la laisse faire, je commence à mouilloter, mes lèvres s’écartent, un doigt s’y aventure et me voilà moi aussi en train de me masturber à son rythme. Mon envie monte, je suis excitée, je l’oublie, il n’y a plus que ma main qui compte et quand je m’arrête, assouvie, elle me regarde avec un grand sourire :— “Ben ma coquine, pour quelqu’un qui a besoin de réfléchir, tu as vite décidé !“— “La coquine c’est toi, tu as abusé de mon sommeil !“Elle prend un air penaud :— “Promis, je ne le ferai plus.“Et m’embrasse au coin des lèvres. Nous filons rejoindre les autres au petit déjeuner.Le match se passe sans encombre, nous ne descendrons pas de division. Le staff a organisé une petite fête et lorsque nous regagnons notre chambre, elle a de nouveau son air de chienne battue :— “D’accord, tu peux venir, mais c’est juste pour dormir !“A peine sommes nous couchées qu’elle commence à glisser sa main sur mon sein en se masturbant de l’autre. — “Tu n’as qu’à faire comme moi . “Ai-je le choix ? Alors je me caresse aussi. Plus tard comme nous soufflons, elle vient sur moi et recommence son petit manège en m’ouvrant les cuisses. Elle me baise presque comme un mec, mes jambes relevées dans ses bras. Son ventre fait sortir mon clito à chaque coup qu’elle donne. C’est marrant, mais l’absence de bite ne me gêne pas. Mais pas du tout. Je suis bien mouillée, elle aussi, j’ai l’impression qu’on va réveiller l’hôtel avec le bruit qu’on fait.Elle m’embrasse à pleine bouche, caresse mes seins et nous jouissons, je ne sais pas qui la première, mais en ce qui me concerne, je n’ai jamais joui aussi fort.Ben voilà autre chose, Denise est lesbienne. Et moi aussi ! Je n’ai jamais pu résister quand elle faisait ses yeux de merlan frit. Enfin, jusqu’à ce qu’elle me quitte."
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