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En colloc avec 3 perverses

Chapitre 1

Bienvenue à l’unif

Avec plusieurs femmes
Ça y est, c’est le grand jour. Après dix-huit années à vivre dans le cocon parental, il est temps pour moi de prendre mon envol. Je rentre bientôt à l’université, et comme ce n’est la porte à côté, je n’ai pas trop le choix que de déménager. Certains seraient ravis d’avoir enfin la liberté de faire ce qu’ils veulent loin du jugement de papa et maman, sauf que moi, j’étais très heureux comme j’étais.
Je suis nerveux. Mon problème n’est pas la peur de devoir me débrouiller seul — même si cela va me faire drôle de devoir me faire moi-même à manger, ou de m’occuper de ma propre lessive —, mais le fait que, justement, seul, je ne le serais pas vraiment. Je vais aller dans une coloc universitaire pour quatre personnes. Je n’ai jamais vraiment été quelqu’un de très sociable. L’idée de non seulement rencontrer, mais de vivre avec de parfaits inconnus me terrifie. Et si cela se passe mal ? Cela ne va pas être en enfer de les côtoyer tous les jours ? Si au moins j’avais eu la chance de les rencontrer avant, mais là, même pas. Pourquoi est-ce que mes parents insistent pour m’infliger ça ? J’ai essayé de négocier pour qu’ils me louent plutôt un petit studio tranquille, mais ils ont refusé de peur que « cela m’isole encore plus ». Et alors ? Si je suis très bien comme ça !
Après plus de deux heures de route, nous arrivons sur place. C’est au deuxième étage, et il n’y a pas d’ascenseur. De toute façon, je n’emporte pas grand-chose avec moi. Tant que j’ai mon ordinateur avec une connexion Internet, ça me suffit.
Mes parents m’aident à vider le coffre. On commence par le moins lourd. À partir d’ici, je connais le chemin, je suis déjà venu visiter une fois il y a un mois. J’espère qu’on est les premiers à arriver. Il reste quelques jours avant la rentrée, cela m’aiderait beaucoup si je pouvais passer au moins une nuit seul.
Mon père me donne les clés, j’ouvre et me dirige vers ma future chambre. J’entends du bruit dans la cuisine commune. Et merde. Mon sang se glace, j’aurais donc de la compagnie. Je me précipite vers la porte et pénètre dans ce qui sera ma nouvelle tanière pour au moins un an. J’entends du bruit derrière moi. Mes parents, plus polis, sont partis dire bonjour à l’inconnu. J’entends une voix de fille leur répondre. Sérieux ! Il ne manquait plus que ça. Moi qui suis timide, j’aurais au moins préféré que ce soit un mec. Je dépose mes affaires et vais vite fait les rejoindre, histoire de faire bonne figure.
— Oh, et je vous présente mon fils, Jordan, fait maman. — Enchantée, moi, c’est Sandrine, me tend la main cette dernière.
Je la lui serre sans oser prononcer un mot. Ce qu’elle est canon ! Je suis intimidé à mort. Je dois me forcer pour la regarder dans les yeux et ne pas dévier plus bas. Ce n’est pas qu’elle est habillée sexy, mais même derrière un simple t-shirt, sa poitrine ressort fortement. Elle a vraiment des courbes là où il faut en plus. Je sais que la plupart des mecs seraient fous de joie de se retrouver ainsi en coloc avec une aussi belle rousse, mais moi, je suis deg. Parce qu’une fille comme ça, ce n’est clairement pas pour les gars comme moi, et lorsqu’elle ramènera un petit copain, je n’aurais plus que ma main pour me consoler.
Je lui réponds enfin un « bonjour » en bégayant, puis elle engage la conversation. Mes parents en profitent pour s’éclipser et nous laisser seuls. Je suis en pleine panique. Elle est gentille, elle sourit et est très chaleureuse, sauf que cela me met encore plus à l’aise. Cela peut paraître stupide, mais je serais beaucoup plus détendu si c’était une moche aussi coincée que moi.
J’en apprends déjà un peu plus sur elle. Elle fait des études de lettres. Elle a vingt et un ans, et c’est sa troisième année. Super. Donc à ses yeux, je dois être un jeune puceau tout juste sorti du lycée qui ne connaît rien à rien. Ce n’est pas avec ça que je vais la séduire. J’espère au moins que je ne serais pas le seul à être dans cette situation.
— Oh, au fait, les chambres vacantes seront occupées par Fanny et Marie, mes deux meilleures amies. Ne t’inquiète pas, elles sont géniales ! Elles arriveront demain. On s’est rencontrées en cours et c’est la deuxième année qu’on vit toutes ensemble.
Ce coup de massue... Donc pour résumer, je vais vivre avec trois filles, qui ont toutes déjà l’expérience de l’université, et qui se connaissent très bien. Comment pourrais-je avoir la moindre chance de m’intégrer ? Ça valait bien la peine de me refuser un studio. Elles vont passer tout leur temps ensemble à m’ignorer.
Je trouve l’excuse de devoir aller aider mes parents pour prendre congé. Elle me propose de nous aider, je refuse poliment, bien qu’elle insiste plusieurs fois. Je ne la recroise plus du reste de l’après-midi, elle doit vaquer à ses occupations. Après plusieurs heures et de nombreux allers-retours à la voiture, me voilà enfin installé. Je branche le dernier câble, mon PC tourne, la connexion marche. J’ai le minimum pour vivre, cela devrait aller. Cela n’empêche pas le moment des adieux d’être difficile. Papa me dit au revoir, Maman me fait un dernier câlin, puis ils s’en vont en me souhaitant bonne merde. J’ai dû me retenir pour ne pas leur demander de rentrer avec eux.
Bon, et bien voilà. Je suis seul. Enfin, en quelque sorte. J’ai dû mal à me dire que ce soir, je ne dormirais pas chez moi dans mon lit. Ou plutôt, de me dire qu’ici c’est chez moi désormais.
J’ai la dalle, c’est le bon moment pour me faire à manger. Je n’ai jamais vraiment cuisiné, mais faire bouillir de l’eau pour des pâtes, et mettre de la viande à cuir dans une poêle, ça va, cela devrait être dans mes cordes. Sandrine refait son apparition. Et merde, j’avais espéré n’avoir personne derrière moi pour ma première fois. Cette pression, je n’ai pas envie d’être ridicule. Elle va se foutre de ma gueule si je fais un truc de travers, c’est obligé.
La partie cuisine faisant aussi office de salon, j’ai l’espoir qu’elle soit là pour regarder la télé et qu’elle va faire comme si je n’étais pas là. Sauf que non, pas de bol, elle est là pour les mêmes raisons que moi. Elle me fait la conversation en sortant ses propres couverts du placard, puis s’approche de moi pour jeter un œil à ce que je prépare. J’ai peur qu’elle me fasse un commentaire désobligeant quand elle me sourit en me disant que cela sent bon. Elle a l’air tellement à l’aise alors que je suis tellement crispé. Je ne sais pas comment les gens normaux font pour être aussi détendus en présence de nouvelles personnes.
Finalement, nous mangeons ensemble. Cela me fait plaisir. Elle me pose plein de questions, et j’essaie de m’intéresser aussi à elle. Le courant passe bien, cela me rassure un peu. J’en profite, car je me doute qu’une fois que ses amies seront là, les choses vont changer. D’ailleurs, elle reçoit un appel d’une d’elles. À peine a-t-elle décroché qu’elle se met à rire comme une folle. J’ai un petit pincement de jalousie, j’aimerais bien pouvoir faire rire quelqu’un comme ça moi aussi. Je n’ai jamais été très doué pour ce genre de choses, on me dit souvent que je suis trop sérieux.
Je ne sais pas de quoi elles parlent, mais elle rigole toutes les deux secondes. Cela s’éternise et elle finit par m’abandonner. Je suis triste, mais ce n’est pas grave. J’ai quand même passé une très bonne soirée. En regardant l’heure, je suis surpris de constater qu’il soit si tard, je ne m’étais pas rendu compte qu’on avait parlé pendant aussi longtemps. C’est passé à une de ses vitesses ! Je retourne dans ma chambre pour jouer à des jeux vidéo avant d’aller dormir.
Je passe une bonne partie du lendemain enfermé dans mon trou. L’après-midi, j’entends du bruit dans le couloir. Quelqu’un emménage. Je sais que je devrais sortir dire bonjour ou filer un coup demain, mais je n’ose pas. Quand je comprends que les parents sont partis et que le calme est revenu, je prends le risque d’aller aux toilettes. En sortant, je remarque que Sandrine et la nouvelle arrivante se sont posées dans le salon pour discuter. Les retrouvailles ont dû être particulièrement chaleureuses, car je les ai entendues crier de façon hystérique tout à l’heure. Devant obligatoirement passer devant, je décide d’aller au moins leur faire un coucou vite fait afin de ne pas avoir l’air bête :
— Hey ! Jordan ! me salue Sandrine avec enthousiasme en me voyant.— Salut, fais-je. — Je te présente Fanny, ma meilleure copine. Fanny, je te présente Jordan. C’est le quatrième colocataire dont je t’ai parlé. — Super ! Je suis contente de faire ta connaissance, fait cette dernière avec un sourire. — Enchanté.
Fanny, une brune aux cheveux longs, est beaucoup plus petite et fine que son amie, cela ne l’empêche pas d’être aussi canon. Je dois faire un effort pour ne pas rougir.
Cela doit faire un bout de temps qu’elles ne se sont pas vues. Me doutant qu’elles n’ont pas envie d’avoir un inconnu dans les pattes, je fais mine de les laisser tranquilles quand Sandrine me retient :
— Attends ! Où tu vas ? Reste un peu avec nous. — Oui, allez, viens ! l’encourage Fanny.
Mon premier réflexe me dicte de fuir en refusant poliment, sauf que ce n’est que ma timidité qui parle. Au fond, j’ai envie de rester avec elles. Pour une fois que j’ai l’occasion de passer du temps avec de jolies filles... Je prends mon courage à deux mains et accepte l’invitation. Je m’installe dans un des fauteuils à côté de leur sofa et nous parlons ainsi pendant plus d’une heure. Elles me posent plein de questions sur moi, je fais ce que je peux pour leur répondre au mieux pour leur paraître intéressant, sauf que je ne trompe personne : elles se rendent bien compte que je ne suis pas le genre de mec « cool » qui aime faire la fête et sortir en soirée, mais que je suis un gros coincé qui préfère passer son temps derrière son ordinateur. C’est dans ce genre de moment que cela me saoule d’être ce que je suis. Elles me lancent quelques piques pour me taquiner, mais ce n’est jamais méchant. Je suis habitué à pire.
Plus tard, c’est au tour de la petite dernière de faire son apparition. Enfin, « petite », ce n’est pas vraiment le bon mot, Marie est bien plus grande que moi. Physiquement, elle est plus proche de Sandrine que de Fanny, avec un peu plus de chair et une taille de bonnet de soutien-gorge supplémentaire. Autant dire que je trouve cette brune aux cheveux aux pointes légèrement bouclées aussi belle que les deux autres. Je me sens vraiment petit au milieu de toutes ces filles sublimes.
Alors que ses amies sautent de joie et l’enlacent en la voyant, je me contente de me présenter avec un salut timide. Nous nous y mettons tous pour l’aider à l’emménager. Je lui file même un coup de main pour installer son PC. Lorsque ses parents l’abandonnent après lui avoir dit un dernier au revoir, nous décidons de nous préparer à dîner. Nous mangeons tous les quatre à la grande table de la cuisine. Les filles parlent, moi, je reste principalement silencieux. J’ai toujours eu du mal à m’immiscer dans une conversation, je préfère écouter. Je rebondis sur certaines choses parfois, ou je réponds à des questions, mais sans plus. Je sens bien qu’elles essaient de ne pas me faire sentir exclus, ce qui est loin d’être évident lorsqu’elles parlent de choses que je n’ai pas vécues ou de personnes que je ne connais pas.
Plus le temps passe, plus j’en apprends sur elles. Je découvre ainsi que Marie a un petit copain, tandis que Fanny et Sandrine sont célibataires. Je ne peux pas m’empêcher de prendre ça comme une bonne nouvelle, même si je sais que je n’ai aucune chance : elles ne vont sûrement pas le rester longtemps. Je comprends aussi que ces deux dernières sont de grosses fêtardes alors que Marie est la plus sérieuse du groupe. Elle ne rit jamais à leurs délires, ou ne fait la commère comme elles le font. Il y a clairement moins de complicités entre elle et les autres. Elles ne sont « que » amies, alors qu’entre Sandrine et Fanny, c’est à la vie à la mort.
Lorsqu’il commence à faire tard, elles décident toutes les trois de sortir. Elles me proposent de venir, mais je refuse. Être social m’épuise, et cette journée m’a déjà été assez éprouvante comme ça, je pense que c’est le bon moment pour aller m’isoler un peu.
Les jours s’écoulent, et la rentrée arrive. Mes premiers pas à l’université ne se passent pas trop mal, je m’attendais à pire. Je découvre les cours, les profs, les nouveaux collègues, sauf qu’honnêtement, tout cela m’ennuie à mourir. Ce qui m’intéresse vraiment, c’est de développer ma relation avec mes colocataires. J’ai hâte de rentrer après une dure journée pour les retrouver. Cela me demande beaucoup d’effort, mais je fais tout ce que je peux pour essayer de sortir de ma coquille. J’adore nos discussions autour de la table au moment de dîner, où ces moments où on est tous à regarder la télé à commenter des émissions débiles. Je sais que je serais toujours pour elles une sorte d’étranger ultra-coincé, mais je pense qu’au fond, malgré la distance qui nous séparera toujours, elles m’aiment bien quand même.
Sandrine et Fanny sortent tous les jours pour aller faire la fête. J’y vais de temps en temps avec elles, même si ce n’est pas trop mon truc. Il y a trop de bruit pour moi, on ne peut quasiment jamais se parler. Puis je ne suis pas du genre à me saouler et à danser toute la nuit. En général, je reste là à ne rien faire hormis à boire quelques bières. Tout le monde doit bien remarquer que je suis une anomalie dans le paysage. Elles n’arrêtent pas de me taquiner pour me pousser à retirer le balai que j’ai dans le cul, mais c’est tout simplement quelque chose dont je suis incapable. Elles par contre, elles se déchaînent. Elles dansent, elles crient, elles rient. Je n’ai jamais vu des personnes aussi vivantes, je les envie. Ce sont à chaque fois les stars de la soirée. C’est fou le nombre de mecs qui viennent leur payer des verres. Elles ont l’air d’adorer ce genre d’attention.
J’ai beau savoir pertinemment que je resterais toujours que dans la friendzone, cela ne m’empêche pas d’avoir un pincement au cœur. Le plus surprenant, c’est qu’elles n’ont jamais l’air intéressées. Elles font juste leurs allumeuses. Quand elles se déhanchent l’une contre l’autre en se caressant, les mâles de la salle deviennent complètement dingues. Je me demande parfois s’il n’y a pas quelque chose d’un peu plus sérieux derrière. Elles ont l’air d’être plus que de simples amies.
C’est con, mais du coup, je me sens un peu privilégié. Alors que ces gars se font rembarrer, moi, j’ai la chance de pouvoir demeurer à leur côté. Bon, certes, comme une sorte de toutou docile et non comme une figure virile, mais ce n’est pas grave, cela ne me dérange pas.
Même si j’ai conscience que je n’ai aucune chance de sortir avec l’une d’entre elles un jour, je mentirais si je disais que je n’en fantasme pas. Fanny a cette habitude de toujours s’habiller avec des fringues qui moulent son corps, ça me rend dingue. Quant à Sandrine, j’ai du mal à retenir une érection dès qu’elle porte la moindre tenue un peu échancrée. Elle le remarque parfois lorsque je la reluque un peu trop longtemps avec mes yeux de pervers. J’ai peur qu’elle s’offusque, mais elle me répond avec un sourire taquin à la place, comme si je lui avais fait un compliment.
Finalement, Marie est celle avec qui j’ai le moins d’affinité. Il faut dire qu’elle est aussi la plus discrète. Quand elle ne passe pas son temps à avoir le nez dans ses études, elle le passe avec son copain. Ça me fait bizarre de me dire que finalement, je ne suis pas celui qui s’isole le plus.
Après moult tentatives, Fanny arrive à la convaincre de venir sortir faire la fête un soir avec nous. Elle a accepté à l’unique condition que son copain vienne avec nous. C’est l’occasion pour moi d’enfin faire la connaissance du fameux Jhonattan dont j’ai beaucoup entendu parler.
— Je te présente Jordy. Jordy Natteur, fait Sandrine pour nous présenter.
Oui, je sais, ce n’est pas mon nom et ce surnom est débile, mais qu’est-ce que je peux y faire ? C’est Fanny qui l’a trouvé, et depuis, elles m’appellent tout le temps comme ça. En tout cas, il est clair que je ne fais pas le poids. Pas seulement parce que ledit Jhonattan a une tête en plus que moi, mais surtout parce qu’il est beaucoup plus sportif et que ce mec pue l’assurance. Je suis carrément jaloux, mais je dois admettre qu’il est sympa. Je ne comprends pas pourquoi Fanny et Sandrine passent leur temps à lui cacher dessus derrière son dos.
En soirée, alors que la musique et l’alcool battent leur plein, je suis occupé à parler avec lui, quand Marie vient nous rejoindre :
— Chéri, je suis fatiguée, cela te dérange si je rentre ? — Tu es sûre ? Il est encore super tôt.— Oui, je sais, mais je m’ennuie. Tu veux bien me raccompagner ? — D’accord, j’arrive tout de suite. Désolé vieux, dit-il à mon adresse, mais le devoir m’appelle.— Pas de soucis. Enchanté de faire ta connaissance.— De même.
Me revoilà seul, comme d’habitude. Non pas que je m’en plaigne. Quelques minutes plus tard, Sandrine vient me voir en me tendant une bière. Je ne me fais pas d’illusion, elle ne me paie pas sa tournée, c’est sans doute celle d’un admirateur en trop dont elle ne sait que faire.
— Tiens, où est passé Jhonattan ? Vous n’étiez pas ensemble ? me crie-t-elle pour essayer de faire passer le son de sa voix au travers de la musique. — Si, mais Marie voulait rentrer, elle lui a demandé de la raccompagner.— Marie est partie ?! me demande Fanny qui vient de nous rejoindre. — Oui, elle et Jhonattan sont rentrés. — À mon avis, ils sont partis pour aller baiser, commente Sandrine en plaisantant. — Elle avait l’air fatiguée, je pense qu’elle n’était pas très bien, fais-je pour essayer de la défendre.— On parie ? — Comment ça ? — Allez viens, on rentre, on va voir ça par nous-même. — Non, mais tu n’es pas sérieuse. Même si c’est vrai, on ne va pas aller les déranger. — Rooh, mais arrête. Je n’ai jamais dit qu’on allait les déranger. Allez, viens, décoince-toi.
Je ne fais pas trop attention, je me dis qu’elle déconne, que c’est juste l’alcool qui parle, jusqu’à ce qu’elle parvienne à convaincre Fanny de rentrer pour aller vérifier.
— Non, mais vous délirez ?! fais-je. — Allez, viens. Tu ne vas pas rester ici tout seul de toute façon, si ?
Non, évidemment. Je les suis malgré moi. Une fois arrivés à la coloc, Fanny et moi nous installons dans le sofa du salon.
— Chuuut, bougez pas, nous fait Sandrine en titubant. Je vais aller les espionner. Elle s’en va coller une oreille contre la porte de la chambre de Marie, avant de revenir en courant en se retenant de pouffer de rire. — Je vous l’avais dit ! Ils sont en train de le faire ! Trop fatiguée mon cul, ouais !— Tu es sérieuse ?! s’exclame Fanny avant d’aller vérifier à son tour. — La vache ! Vu comment elle gémit, elle a l’air de prendre cher la Marie en plus ! fait-elle une fois de retour.— Je te l’avais dit !— Hey, Jordy, tu veux aller vérifier aussi ? — Non, merci. Sans façon, je vous crois sur parole. — Putain, je l’envie, cela fait un bail que je ne me suis pas envoyé en l’air, soupire Sandrine.— La vache, moi aussi. Jordy, c’était quand la dernière fois que tu l’as fait ?
Je rougis à la question, je ne sais plus où me mettre. J’aurais aimé qu’elles me gardent à l’écart de ça.
— Ooh, arrête. Ne le taquine pas avec ça. Tu vois bien qu’il est encore puceau, lâche Sandrine sur le ton de la rigolade. — Nan, mais tu n’es pas sérieuse. Jordy. Tu n’es plus puceau quand même ?
Je rougis encore plus fort comme pour confirmer. Je n’ose pas répondre.
— Quoi ? Sérieux ?! s’exclame Sandrine. Je disais ça pour déconner moi. Tu n’as jamais couché avec une fille ? — C’est bon, pas la peine d’en faire tout un plat, fais-je pour me défendre. À mon âge, ce n’est pas anormal. Il y en a plein des gens à dix-huit pas qui ne l’ont pas encore fait. — Non, mais il va falloir remédier à ça. On va devoir te trouver une copine. — Le pauvre, je comprends qu’il n’ait pas envie d’aller écouter à la porte de Marie. Il doit déjà bander rien que d’imaginer ce qu’ils font là-dedans.
Le pire, c’est que c’est vrai. Je ne sais vraiment plus où me mettre.
— Tu bandes, Jordy ? me taquine Sandrine. — Non, mais arrêtez, c’est bon ! fais-je en gloussant de gêne.— Attends, je connais un truc qui va le rendre dur en moins de deux secondes si ce n’est pas déjà fait, fait Fanny.
Elle se colle contre Sandrine et se met à la caresser. Cette dernière rentre dans son jeu en imitant ses gestes comme si elles avaient l’habitude de faire ça. Elles me regardent toutes les deux pour observer ma réaction. Je n’ose pas bouger. J’aimerais pouvoir être invisible parfois. Qu’est-ce que je fous là ? Elles se mettent à s’embrasser. Pas juste le petit bisou sous la bouche, non, le gros patin avec la langue et tout. Je suis choqué par ce que je vois ! Elles ne cessent de tourner les yeux vers moi pour vérifier que cela fait son petit effet. J’essaie de paraître insensible, mais en vrai je suis excité à mort. C’est quelque chose de mater un porno, mais ce n’est pas pareil de voir ses deux colocs faire ça ensemble en face de soi.
— Alors, ça te plaît ça ? me charrie Sandrine. Cela te donne envie de te palucher ? — Ne te dérange pas pour nous, surtout. — Non, mais c’est bon, je ne suis pas un pervers à ce point-là, fais-je pour essayer de paraître digne. — Moi, si, fait Sandrine. Je suis trop en manque, j’ai trop envie de me masturber là. — Moi aussi, je n’ai qu’une envie, c’est d’aller m’isoler dans ma chambre. — Pourquoi attendre d’aller dans la chambre ?
Sous le regard médusé de Fanny, Sandrine s’affale contre le fauteuil du divan et fait lentement glisser sur main sous son pantalon. Putain, je ne sais pas si elle est saoule ou simplement tarée, mais même sa meilleure amie n’en revient pas.
— Tu es folle ! lui dit-elle. — Je sais.
Elle hésite un instant, puis à ma grande stupeur, je la vois elle aussi s’installer confortablement avant de se caresser.
Non, mais vraiment. Qu’est-ce que je fais là ?! Je suis en présence de deux superbes bombes en train de se toucher à même pas un mètre de moi, et je n’ai aucune idée de comment je suis censé réagir. En ce moment, j’ai envie de disparaître. Mais en même temps, je n’ai aucune envie de rater ça. Je m’en voudrais toute ma vie si je m’enfuyais maintenant.
— Alors, on se régale du spectacle ? me lance Sandrine en gloussant.
Evidemment, elles ne font pas rater une telle occasion de me titiller. Elles me fixent toutes les deux avec un sourire de succube. On dirait qu’elles font exprès de faire ça juste pour me mettre mal à l’aise. Ça les amuse de torturer un puceau. Je ne réponds pas à la provocation. Si je ne dis rien, elles finiront bien par m’oublier.
— Tu dois bander dur là, non ? — Non, non, ça va, fais-je en bégayant. Il m’en faut plus quand même.
Je sais bien que je ne suis pas crédible, mais je ne vais pas leur dire la vérité quand même.
— Tu n’as pas envie de participer avec nous ? enchérit sa meilleure amie.— Non, non, c’est bon. Vous, vous faites ce que vous voulez, ça ne me dérange pas, mais moi, ça va, c’est bon. — Oui, m’enfin, ce n’est pas très poli. Ce n’est pas un peu pervers de rester là à nous reluquer ?— Elle a raison. Ou tu joues avec nous, ou tu nous laisses seules. Mais là, comme ça, c’est trop bizarre.
Merde, elles m’ont bien acculé là. Je voulais essayer d’adopter la position la plus neutre possible pour ne pas me couvrir de honte, mais finalement, elles ont raison, c’est encore pire comme ça.
— Tu pourrais au moins la sortir, insiste Fanny.
Je ne sais pas quoi faire. Si je pars, je vais encore passer pour le gros coincé de service, mais si je reste, je vais devoir subir toutes leurs remarques. Tant pis, je vais prendre le risque. Bien sûr que je suis un gros pervers au fond, et c’est sans doute la seule occasion que je n’aurais jamais de faire un truc un peu coquin avec elles. Si c’est elles-mêmes qui me le demandent, je ne peux pas dire non. Surtout qu’elles me donnent un bon prétexte.
Je défais le bouton de mon jeans et tire ma braguette. Je n’en reviens pas de ce que j’apprête à faire. J’extirpe mon sexe tendu de mon caleçon et l’expose à la vue de tous.
— Tu vois bien que tu bandes ?! Sale menteur ! — Hmm, elle est pas mal quand même, commente Sandrine avec surprise.— J’avoue, elle est d’une belle taille ! Je pensais qu’elle serait plus petite. — Comme quoi, faut se méfier des puceaux !
Je rougis. C’est la première fois que je montre mon engin à une fille, j’avais peur qu’elles se foutent de ma gueule. Bon, en vrai, j’ai toujours su que j’étais assez bien membré, mais cela ne m’empêche pas d’avoir craint les réactions. Qui sait ce que leurs esprits tordus peuvent imaginer comme excuses pour se moquer de moi ? Ça me rassure qu’elles réagissent comme ça, je me sens un peu moins honteux.
Je reste là la bite en l’air comme un idiot pendant plusieurs minutes pendant qu’elles continuent de se masturber. Elles ne retiennent pas leurs gémissements de plaisir. J’imagine leurs doigts qui s’activent sur le minou, cela me rend encore plus dur.
— Hmm, vas-y, touche-toi, m’encourage Sandrine. — M’enfin, je ne vais pas me branler devant vous, quand même, fais-je.— Et pourquoi pas ? On le fait bien, nous, rétorque Fanny. — Allez, tu dois en mourir d’envie.— Oui, et puis il n’y a pas de mal à se faire du bien. — Allez, Jordy !— Non, non, je ne peux pas faire ça, fais-je avec un gloussement de gêne. — Allez, si tu te touches, on te montre nos seins, déclare Sandrine.— Quoi ? Tu es folle ? Je ne vais pas lui montrer mes nibards ! s’indigne Fanny. — Ooh, allez. Le pauvre, il n’a jamais dû en voir en vrai. Puis lui il nous montre bien son pénis, on lui doit bien ça. — Bon, allez, d’accord, pourquoi pas.
Je ne les crois pas un seul instant, elles doivent dire ça juste pour se moquer. Cependant, qu’elles soient sérieuses ou pas, je dois admettre que j’ai dû mal à me retenir. Je meurs d’envie de m’astiquer, mais c’est tellement gênant de faire ça devant deux filles. Bon, allez, je craque. Une fois encore : ce sont elles qui me le demandent, ça serait encore plus bizarre de ne pas le faire, non ? Je prends donc ma tige d’une main et commence des mouvements de poignet. Elles poussent un ronronnement de satisfaction en me voyant obtempérer aussi facilement.
— Allez, vas-y, va plus vite, n’aie pas peur, me balance Fanny.
Je n’ose pas. Je détourne les yeux de gêne.
— Attends, on va l’aider. Une promesse est une promesse.
Mon cœur fait un bond dans ma poitrine quand Sandrine commence à retirer son haut. Elle va vraiment le faire ? Ce n’était pas une blague ? Waow, elle me dévoile ses seins enfermés dans son soutien-gorge noir. Même si au final, elle ne va pas plus loin, je resterais heureux d’avoir eu la chance de voir ça. Ils sont vraiment énormes. Je ne sais pas ce que je donnerais pour avoir une chance de pouvoir jouer avec rien qu’une seule fois. J’envie ses ex, et les plains aussi pour ne plus être avec elle. Elle me sourit, tout cela n’est évidemment qu’un jeu pour elle.
Fanny se met à l’imiter. Sérieux ? Je ne l’en croyais pas capable. Sa poitrine est peut-être bien plus maigre que celle de son amie, mais elle est loin d’être plate. En vrai, elle me fait le même effet dans son soutif rouge.
Ce n’est pas terminé. Sans me quitter du regard, elles passent toutes les deux les mains un instant derrière leurs dos avant de faire glisser leurs bretelles. Putain de bordel de merde, elles tiennent leur parole, elles me montrent leurs seins. J’en avais rêvé depuis le premier jour où je les ai vues, et elles l’ont fait. Mon Dieu, ce qu’ils sont beaux, elles ont vraiment des corps superbes. Ceux de Sandrine sont volumineux et bien fermes, avec de larges aréoles. Ceux de Fanny ont peut-être juste ce qu’il faut pour pouvoir tenir dans la main, mais ses tétons pointus sont un appel à être pris en bouche.
L’effet est réussi, je me branle plus fort. Cela ne leur a évidemment pas échappé. Elles gloussent en voyant ma réaction. Cela me sidère de les voir aussi à l’aise dans cette situation. Ça n’a pas l’air de les déranger plus que ça de se montrer ainsi à moitié à poil devant moi.
Je suis excité à mort, je suis en train de vivre le moment le plus érotique de toute ma vie. La situation est complètement surréaliste, on est là tous les trois à se masturber dans le salon comme des dingues. Les filles se caressant les seins tout en se doigtant, Fanny se pince même les mamelons. Si je pensais au début qu’elles faisaient juste semblant pour me mettre dans une position inconfortable, je peux voir désormais qu’elles ne feignent pas leur plaisir. Elles sont sérieusement là pour se faire du bien. Est-ce que cela va aller jusqu’à l’orgasme ? Est-ce que cela veut dire que je devrais... aller jusqu’au bout moi aussi ?
La tension monte, je nous sens tous approcher de plus en plus de l’apothéose. Elles avaient raison, c’est vraiment bon de se faire du bien, surtout comme ça tous ensemble. Sentir le plaisir des autres augmente le nôtre. Nous nous synchronisons à nos soupirs, à notre respiration. J’ai presque l’impression que nous nous attentons les uns les autres pour jouir tous en même temps.
— Alors, Jordy, tu as envie d’éjaculer ? me taquine Sandrine. — Non, non, ça va, mens-je.
Je n’ai pas envie de passer pour un précoce.
— Qu’est-ce qui te retient ? Pas nous en tout cas.— Oui, vas-y. Il n’y a pas de honte à avoir. Tu ne serais pas le premier mec qu’on verrait juter, tu sais. — Non, mais ça va, je n’en suis pas encore là.
Elles s’échangent un regard en souriant. Il est évident que je ne les ai pas convaincues. Quelque chose me dit qu’elles ne font pas lâcher l’affaire.
— Et sinon, Jordy, à qui tu penses en te branlant ? revient à la charge Sandrine. — À nous ? enchérit Fanny en gloussant. — Mais non, voyons. Ça serait trop bizarre, fais-je en sachant pertinemment qu’elles ne goberont jamais ça.— Vraiment ? Tu nous mates les seins à l’air, mais tu ne penserais même pas à nous en t’astiquant ? À qui tu veux faire croire ça ? — Cela ne nous dérangerait pas, c’est normal. Regarde, moi, je pense très fort à cette belle queue qui est devant moi.— Hmm, oui. J’aimerais bien me faire défoncer la chatte par une comme ça, dit Fanny.— Oh, oui ! À quatre pattes ! — Oh, Sandrine, arrête, je mouille comme une folle.
Rah, les salopes. Les entendre dire de telles insanités me donne trop envie de me finir.
— Tu n’as toujours pas envie d’éjaculer Jordy ? — Allez, vas-y, jouis pour nous. On a follement envie de voir ça. — Oh putain, les filles, s’il vous plaît, arrête, supplié-je. — Cela t’aiderait si on te montrait nos chattes ? fait Fanny. — La mienne est toute rasée, cela te plairait ? — La mienne aussi.
Elles savent très bien que je ne vais pas oser répondre, elles font juste ça pour m’emmerder dans l’espoir que je craque. Du moins, c’est ce que je pensais jusqu’à ce que je vois que Sandrine se met à retirer son pantalon. Putain, je n’y crois pas, elles le font pour de vrai. Fanny ne déconnait pas, sa culotte est trempée. Elle me fait un vrai show en plus. Elle lève les jambes en l’air avant de faire glisser lentement son sous-vêtement le long de ses cuisses. J’ai une vue sublime sur sa petite fente imberbe. Ses lèvres sont gonflées, c’est un truc de dingue. C’est seulement là que je réalise qu’elles ne font pas juste ça pour se marrer. Ça les excite aussi. Ça les excite de ME montrer leur intimité. Je suis le mec le plus chanceux du monde.
Une fois libérée, elle écarte bien les cuisses pour m’offrir une meilleure vue. Sandrine fait la même chose sans même hésiter une seconde. Me voilà désormais avec mes deux fabuleuses colocs complètement à poil. Elles sont décidément encore plus belles que tout ce que je m’étais imaginé. Elles reprennent leur masturbation sans tarder. Je pensais qu’elles s’enfonceraient des doigts dans le vagin, sauf qu’en réalité, elles se caressent juste le clito comme des folles. Je n’en rate vraiment pas une miette, et dire qu’au début, j’avais pensé à m’enfuir. Qu’est-ce que j’aurais raté !
— Alors, elles te plaisent ? me demande Sandrine.
Je vois les choses sous un jour nouveau comparé à il y a une minute. Oui, elle me demande ça sous un ton d’allumeuse. Oui, elle me sourit de façon provocante. Mais non, elle ne fait pas ça juste pour essayer de me mettre dans l’embarras. La situation l’excite autant que moi, elle me pose la question dans le but que ma réponse lui fasse de l’effet. Du coup, pour la première fois, j’ose lui répondre franchement :
— Putain, oui, j’adore ça.— Pervers !
C’est vrai, mais je n’en ai plus honte à présent. Que dire d’elle après ce qu’elle vient de faire ? Si j’en suis un, elle est bien pire que moi.
— Alors Jordy, tu te retiens encore ? poursuit Fanny. Qu’est-ce qu’il te faut de plus ? — À ce stade, tu te fais du mal. — Vous avez gagné, fais-je, je n’en peux plus. — Aaah ! Enfin ! s’en réjouit Sandrine.
Trop, c’est trop. Si c’est ce qu’elles veulent, allons-y. J’augmente une nouvelle fois mon rythme. Cette fois, je me lâche et fais tout ce qu’il faut pour me finir. Les filles m’encouragent :
— Oui ! Allez ! Vas-y ! Donne-nous tout ! On veut te voir gicler ! — Allez ! Ejacule pour nous !
Elles aussi se mettent à se masturber de plus belle, comme si elles n’attendaient que mon orgasme pour avoir le leur. C’est parti, je sens la sauce grimper, j’ai atteint le point de non-retour. Je ferme les yeux une seconde avant d’entrer en éruption. Purée, c’est trop bon, je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort. Mes colocs s’exclament lorsque je lâche un énorme jet de sperme dans le vide. Je sens Fanny partir elle aussi en extase, elle convulse en poussant de longs soupirs. C’est fantastique, c’est comme c’était moi qui l’avais fait jouir, cela me fait juter encore plus fort. J’expulse une énorme quantité de foutre. J’en ai partout sur le pantalon et sur la main. Je me branle jusqu’à ce que plus rien n’en sort, et même au-delà. Je n’en reviens pas de ce que j’ai, c’est fou, je suis vraiment allé jusqu’au bout.
À la seconde où je commence à reprendre mes esprits, j’ai honte. Je ne regrette pas, mais je me sens sale. Fanny semble être sur un nuage et arbore un sourire satisfait. C’est le bien-être post-orgasme. J’essaie de me détendre et d’en profiter avec elle.
— Alors, c’était bon ? nous demande Sandrine.— Hmm, la vache, oui, répond Fanny. J’en avais bien besoin.— Moi aussi, fais-je. — Vous êtes gentils, sauf que vous m’avez laissée en plan, je n’ai toujours pas joui moi. — Désolé, fais-je, sachant pourtant que je n’y suis pour rien. — Tu as intérêt à te faire pardonner, Jordy. Allez, viens.— Comment ça, viens ? — Viens me lécher. C’est le moins que tu puisses faire. — Tu es sûre que c’est ce que tu veux ? la remet en doute Fanny. Il ne l’a jamais fait. Tu le sais bien, il est puceau.— Eh bien ce n’est pas grave, il apprendra. Allez, viens ! — Tu es sérieuse là ? fais-je. — Nous t’avons bien aidé, non ? Alors c’est ton tour.
Elle en parle comme si c’était une punition, alors que moi, je ne demande pas mieux. Et moi qui pensais qu’on allait en avoir fini, cette soirée continue de devenir meilleure. Je me lève et viens dans sa direction, incrédule. Je m’attends à ce qu’elle change d’avis ou m’annonce que c’était une blague d’une seconde à l’autre. Au lieu de ça, elle écarte davantage les cuisses comme pour mieux m’inviter. Je m’agenouille fébrilement pour me mettre en position.
Je jette un regard furtif vers Fanny, elle nous observe sans rien dire. Je me retourne vers Sandrine, elle me presse la tête contre son vagin pour accélérer les choses. Si elle m’avait dit ce matin qu’elle me laisserait lui brouter le minou, je ne l’aurais jamais cru. Je ne suis pas sûr de ce qu’il faut faire, mais je commence par lui donner des coups de langue. J’ai un sursaut de surprise en constatant qu’il y a goût bizarre. Je suis bête, c’est sa mouille, elle est trempée. Je goutte enfin au jus d’amour d’une fille, c’est fabuleux, je me régale.
Ma partenaire me guide pour m’aider à lui faire du bien. Elle me conseille de m’appliquer sur son clito. Il est tout gonflé, je n’ai aucun mal à le trouver. Elle soupire bruyamment lorsque je le titille du bout de la langue. Je ne m’en sens pas peu fier. J’ai fait jouir Fanny, et bientôt, je ferais jouir Sandrine aussi. Elle resserre ses cuisses contre mon visage. Je pose mes mains sur celles-ci pour être plus confortable. Je dois ressembler à un toutou sous l’emprise d’une dominatrice, mais je m’en moque, je m’applique autant que je peux.
— Hmm, oui, vas-y, continue, c’est bon, je vais venir !
Déjà ? Non, en fait, après tout ce qu’on a vécu, c’est normal. Je redouble d’efforts en me disant que c’est la dernière ligne droite. Je me fie à sa respiration pour deviner si je m’y prends bien ou pas. Elle me caresse les cheveux, son souffle devient court. Cela ne doit plus être qu’une question de secondes :
— Oh oui ! Oui ! Oui ! geint-elle.
Soudain, elle explose. Elle tremble en m’envoyant des flots de cyprine en plein de la figure. Je récolte tout avec bonheur. Ça y est, j’ai réussi. Moi, un puceau, j’ai réussi à faire jouir Sandrine avec un cunni. C’est le plus beau jouir de ma vie.
— Ooooooooooh, ouiiiiiiiiiiii !
Je lève mes yeux pour mieux l’admirer. De là où je suis, la vision de sa poitrine est un véritable régal. J’ai envie de jouer avec, mais je me doute que ce serait déplacé. Elle se calme doucement. Elle affiche un air de pleine béatitude. Je n’ose pas bouger, je ne sais pas si j’ai le droit de me relever ou non. Lorsque j’en prends l’initiative, Fanny me retient.
— Hey ! Où est-ce que tu vas, toi ? — Eh ben, je... — Tu crois que tu en as fini ? Tu ne m’oublies pas un peu ? Alors quoi, cela ne t’a pas excité de me voir à poil ? Je n’ai pas droit à une récompense à moi aussi ?
Elle sait vraiment trouver les bons mots pour me faire sentir idiot. Je ne voulais pas paraître égoïste. Elle a déjà joui, je pensais qu’elle en avait fini. Devant mon air penaud, elle écarte les jambes pour m’indiquer ce qu’elle veut. Bon sang, mais si c’est ce qu’elle veut, je vais me gêner, je demande que ça moi.
Je me mets à la brouter à son tour. J’utilise tout ce que j’ai appris pour la faire gémir. Hmm, Fanny. Ce qu’elle goutte bon elle aussi. J’adore, je suis aux anges. Elles pourraient m’utiliser comme ça tous les jours, je ne leur dirais pas non. Je crois que je suis en train de devenir amoureux.
— Alors, il ne se débrouille pas si mal, hein ? commente Sandrine. — Oui, ce n’est pas trop mal pour une première fois. Utilise aussi tes doigts, Jordy.
Hmm, sérieux ? Je peux ? Je m’exécute à sa demande. J’en enfonce deux au fond de son vagin et commence à les remuer :
— Courbe les un peu, oui, vas-y, comme ça. Va plus vite, n’aie pas peur.
Je suis ses conseils à lettre. Je ne pouvais espérer avoir meilleur professeur. Je la fouille tout en lui léchant le clito. J’essaie d’observer ses réactions. Il va être plus difficile de la faire jouir avec son récent orgasme, j’espère être à la hauteur.
Sandrine vient se coller à elle et se met soudain à l’embrasser. Je ne comprends pas ce qui se passe, mais en tout cas, elle ne dit pas non. Voilà que son amie va même jusqu’à lui peloter les seins. Elle se pose bien moins de questions que moi, elle, elle y va franchement. Je regrette de ne pas avoir osé prendre la même initiative.
Elles ont l’air passionnées toutes les deux tandis qu’elles se roulent des pelles, c’est limite si je ne suis plus là. Du moins, c’est ce que je pensais jusqu’à ce que Fanny vienne poser sa main sur ma tête pour me faire savoir de ne surtout pas m’arrêter. Je comprends, c’est un travail d’équipe. Sandrine et moi nous dévouons pour son bien-être, chacun à notre manière. Nous sommes ses serviteurs, nous prenons soin d’elle. Rien d’autre ne compte que de faire grimper son plaisir.
La pièce est emplie du son de nos ébats. Nous la faisons gémir, nous la faisons soupirer. Fanny me caresse pour mieux me faire participer à notre union. Bon sang, la scène me refait bander. C’est tellement érotique. Pour la première fois, j’ai vraiment l’impression de faire partie de leur groupe.
De longues minutes passent où nous faisons tout pour la rendre folle. Elle se délecte de l’attention que nous lui portons tous les deux. Je suis surpris que Sandrine et moi n’avons même pas besoin de parler pour nous synchroniser. Nous jouons ensemble avec elle, jusqu’à ce que nous décidions de la finir une fois pour toutes. Nous redoublons d’efforts, je m’active davantage, et elle finit par être emportée par un orgasme éclatant. C’est tellement beau de la voir jouir, j’en suis sincèrement heureux pour elle, et je le suis encore plus d’avoir pu y participer ainsi.
C’est donc enfin fini. Il me faut un peu de temps pour me remettre de mes émotions. Quelle soirée ! Je reste à genoux devant mes deux déesses sans ne savoir quoi faire. J’ai du mal à croire qu’elles m’ont laissée les voir nues et leur lécher la chatte.
— Dis donc, regarde-moi ça, il rebande ! remarque Sandrine. — Ça t’a excité tant que ça de nous brouter le minou ?
Comment gâcher un moment aussi parfait ? Me voilà de retour à la réalité, à ma position de souffre-douleur. Elles auraient au moins pu attendre encore quelques minutes.
— Tu peux te branler si tu as encore envie, me fait Fanny.— Non, ça va, c’est bon. Je ferais ça dans ma chambre. — Ah non, mais j’ai envie de regarder moi, me rétorque Sandrine. — Non, mais... — Allez, ne discute pas, m’interrompt son amie, vas-y.
Finalement, ce n’est pas plus mal comme ça. Je ne demande pas mieux que de pouvoir encore me palucher en les matant.
Je me replace dans mon fauteuil et m’adonne à ma besogne. Je me sens quand même bizarre. Tout à l’heure, on était tous en train de se masturber, cette fois, je suis tout seul. Je ne suis pas trop en état de réfléchir de toute façon. Cela m’excite de savoir qu’elles me regardent. Je me branle fort. Avec tout ce que nous avons fait, je n’ai plus envie de me retenir.
— Hmm, quelle belle queue quand même, me complimente Fanny, je ne m’en lasse pas. — Je n’en peux plus, c’est du gâchis quand même, s’exclame Sandrine en se levant.
Qu’est-ce qu’elle fait ? Je ne comprends pas.
— C’est comme faire du lèche-vitrine. Au bout d’un moment, tu en as marre de juste rester là à baver devant.
Attends, qu’est-ce qu’elle entend par là ? J’ai peur d’avoir de faux espoir.
Elle vient vers moi et s’agenouille avant de prendre elle-même mon sexe en main pour me branler.
— C’est quand même meilleur quand c’est une fille qui le fait, non ? me lance-t-elle.
Je ne réponds pas, c’est une question rhétorique. Je suis stupéfait par ce qui est en train de se passer. Moi qui pensais en être au bout de mes surprises.
— C’est bon ? Tu aimes ? me demande-t-elle.— J’adore, fais-je.
Je ne sais pas ce qui lui prend, mais je m’en moque, j’en profite. Fanny nous observe sans comprendre elle non plus quelle mouche l’a piquée.
— Hmm, j’ai vraiment trop envie de la sucer. Tu voudrais ? fait Sandrine. — À mort.
Mon cœur bat à cent à l’heure. Il y a quelques minutes, j’aurais pensé qu’elle n’est pas sérieuse, mais à ce stade, je me dis que tout est possible.
— Alors, demande-le-moi proprement.— Comment ça ? — Dis-moi : « Sandrine, je voudrais que tu me suces ».
Je ne réfléchis pas une seule seconde :
— Sandrine, je voudrais que tu me suces. — Eh bien tu vois, quand tu veux.
Elle engloutit mon sexe en bouche sans attendre. Je dois faire un effort considérable pour ne pas éjaculer directement. Je vais me réveiller, ce n’est pas vrai, c’est trop beau pour être réel. Même Fanny n’en revient pas :
— Tu es folle ! glousse-t-elle. — Il a été très gentil avec nous. Il a fait tout ce qu’on lui a demandé. Tu ne penses pas que cela mérite une petite récompense ? — Ce n’est pas faux. — Puis tu n’en as pas envie, toi aussi ?
Attends, je délire, ou je la vois hésiter ?
Sandrine replonge sur ma bite et me pompe goulûment. Mon Dieu, alors c’est ça une pipe ! C’est divin. Même dans mes rêves les plus fous, jamais je ne me serais imaginé qu’un jour je verrais Sandrine nue, avec ses énormes seins, à genoux devant moi en train me faire une fellation. Ça pour une récompense, c’est une sacrée récompense. Combien tueraient pour être à ma place ?
Comme si cela ne suffisait pas, voilà que Fanny se lève à son tour. Non... elle ne va quand même pas... Si, elle vient se placer à côté de sa meilleure amie. Cette dernière sort mon engin de sa bouche et la lui tend. Fanny l’en saisit pour la remplacer. Oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu ! Elle me suce elle aussi ! Je me fais sucer par Sandrine et Fanny ! Une double pipe ! Elles n’ont décidément aucune limite ! C’est un truc de malade ! Je suis au paradis, je vis un véritable fantasme. Est-ce qu’elles se rendent compte en plus que mon sexe est lubrifié de mon sperme de tout à l’heure ? Elles doivent bien en sentir le goût, non ? Cela ne les dérange pas ?
— Alors, tu aimes ça, te faire sucer par deux filles ? me taquine Sandrine. — Ooh, c’est bon, c’est vraiment trop bon !
Elles s’échangent mon sexe comme s’il s’agissait d’une friandise. Je me fais peut-être des idées, mais j’ai l’impression qu’elles raffolent de la pipe. Je veux dire, elles me font même des gorges profondes, je les vois mal aller aussi loin rien que pour me faire plaisir. Je sens qu’elles aiment ça jouer avec le sexe d’un homme, et j’ai encore plus du mal à croire qu’elles ont l’air d’aimer jouer avec le mien. Elles prennent si bien soin de moi. Elles doivent avoir l’habitude, elles savent clairement ce qu’elles font. Un peu trop même, leur façon d’être complice me fait me demander si ce n’est la première fois qu’elles font ça toutes les deux. Elles ne font pas que m’échanger à tour de rôle, elles m’attaquent également parfois ensemble, faisant glisser mon sexe coincé entre leurs lèvres, ou me léchant le gland toutes les deux en même temps.
— Roh, putain, les filles, je n’en peux plus. — Ne te retiens pas, me dit Sandrine, tu peux éjaculer quand tu veux. On ne fait ça rien que pour toi. — N’hésite pas, on attend que ça, me confirme Fanny.
J’ai bien envie de les prendre au mot. J’essaie de me contenir pour ne pas passer pour le pauvre puceau précoce, mais là, franchement, avec un tel traitement, c’est juste une torture.
Je ne suis pas sûr de ce que je dois faire. Jouir, OK, mais où ? Comment ? Je me vois mal jouir comme ça dans une de leurs bouches, elles risqueraient de le prendre mal, sauf que je ne me vois pas non plus leur juter au visage. Ce n’est pas que cela me déplairait, mais ça serait dégueulasse. Du coup, c’est quoi le plan ? Dans le doute, le mieux que je puisse faire, c’est au moins de les prévenir :
— Oh bordel, c’est trop bon, je ne vais pas tarder à venir !
Le mot est lancé, elles savent à quoi s’attendre maintenant. Cela n’a pas l’air de changer grand-chose, elles poursuivent comme si je n’avais rien dit. Rah, tant pis, j’en ai marre de me prendre la tête. Si elles ne sont pas contentes, ce sera leur faute et puis c’est tout. Je cesse de résister et me laisse aller. À ce stade, il ne le faut que quelques secondes pour me sentir partir. J’essaie de pousser un râle pour leur faire comprendre ce qui arrive, mais c’est trop tard, j’éjacule de pur bonheur dans la bouche de Fanny. Manifestement, elle s’y était préparée, elle n’a aucun mouvement de recul. Attends, cela veut dire qu’elle est consciemment en train de boire mon sperme ? Bordel, la petite vicieuse. Je ne l’imaginais pas aussi perverse. Je prends ça comme une invitation à lui donner tout ce que j’ai.
— Oh, oui, Jordy ! m’exhorte Sandrine qui comprend exactement ce qui se passe. Vide-toi les couilles au fond de sa gorge !
Raaah, c’est si bon ! Je n’ai jamais eu d’orgasme aussi fort. C’est fantastique ! Elles font de moi le puceau le plus heureux du monde. Je n’en reviens pas de ce qui m’arrive !
Fanny attend que j’aie fini de me décharger entièrement, puis elle recrache mon sexe. Elle ouvre sa bouche pour me montrer qu’elle a tout avalé avant de glousser, fière d’elle. Je pousse un nouveau râle pour la remercier.
— Tu aurais pu m’en laisser un peu, fait semblant de se plaindre Sandrine. — Désolée, fallait me le demander avant. — Alors, ça t’a plu, le pervers ? — Oh, la vache. C’était super. Vous êtes incroyable les filles.
Cette fois, c’est fini pour de bon. Surtout qu’il commence à se faire sérieusement tard. Tout doucement, nous nous rhabillons, puis nous nous éclipsons chacun dans nos chambres.
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